Trois préludes pour clarinette
et orchestre (arr. Bruno Fontaine)
Concerto pour clarinette
Grands standards (arr. Bruno Fontaine) :
Chicago - Lady be good - Sweet Georgia brown - Sing sing sing
Symphonie n° 2
Plongée au cœur du swing ! De New-York à Chicago, focus sur cette branche du jazz, de ses débuts timides des années 20 jusqu’à son explosion dans les foyers à partir des années 30. Figure centrale de ce voyage : Benny Goodman, alias « The king of swing ». Ses plus grands standards nous replongent dans l’atmosphère festive de l’Amérique des années 30, où le swing est alors un courant à la fois de musique et de danse, très populaire. C’est d’ailleurs lui qui en 1950, commande un concerto pour clarinette à un certain Aaron Copland. Les accents jazz de la pièce semblent taillés sur mesure pour son célèbre interprète ! Gershwin n’échappe pas non plus à la contagion du jazz en intégrant à sa musique, dès 1926, quelques touches de blues avec des rythmes et des accords tout à fait inédits pour son temps. A cette même époque charnière, de l’autre côté de l’atlantique, Kurt Weill compose sa seconde symphonie (1934) dont la noirceur détonne. Guidé par la chaleur de la clarinette, un pèlerinage aux origines du swing dans une entre-deux guerres contrastée !